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jean paul ii - Page 2

  • VANVES ET LES PAPES : LE FUTUR JEAN XXIII EST VENU CONSACRER L’EGLISE DU PRIEURE DES BENEDICTINES

    Les communautés catholique, paroissiales et religieuses de Vanves, ont accueilli avec joie, l’élection de leur nouveau pape François 1er venu d’Argentine. Et ils l’ont exprimé dans leurs prières, lors des vêpres chez les sœurs bénédictines et lors des messes de ce week-end  tant au prieuré que les paroisses de Vanves dont l’une est bien sûr baptisée Saint François. « Après un Jean Paul II du « Nord » venu des pays de l’Est, voilà un « Jean Paul II du « Sud » venu d’Argentine, c'est-à-dire du continent où il y a le plus de catholiques aujourd’hui » confiait un paroissien persuadé que ce pape va autant marquer l’église que Jean Paul II, « déjà par son style ».

     

    Dans l’histoire de Vanves, aucun pape n’est passé par notre commune. Par contre tout d’abord, l’un d’entre eux, voilà 33 ans, a séjourné quelques heures à quelques centaines de métre de notre ville, au séminaire Saint Sulpice d’Issy les Moulineaux : Jean Paul II lors de sa première visite en France en Mai/Juin 1980, pour y rencontrer les évêques français. Un parc qui porte son nom rappelle ce souvenir. Ensuite, un futur pape, Mgr Rocalli (Jean XXIII) qui devait être nonce apostolique à Paris à cette époque,  est venu consacrer l’église du prieuré Sainte Bathilde en 1949, remplaçant au pied levé Mgr Suard qui avait, parait il, rejoint le seigneur.   

  • ANDRE SANTINI A VANVES POUR DEDICADER SES BONS MOTS : « LE SANTINI »

    André Santini dédicace ce matin à 11H à la librairie Blondel, place de la République, son dernier livre « Le Santini » Cet ouvrage ne suit pas les chemins de la forme autobiographique habituelle. De même qu'il y a Le Robert, Le Larousse, Le Littré, voici Le Santini, un dictionnaire «autobiographique ». Ce dernier ouvrage du député maire d’Issy, qui vient d’être publié,  ne suit pas les chemins de la forme autobiographique habituelle. Humour, émotion et informations se succédent à toutes les pages, avec une partie « Noms communs » et une partie « Noms propres » de 1 000 mots qui renvoient à l'histoire personnelle de Santini : sa famille, ses lieux, ses proches, ses goûts et ses dégoûts, ses héros, ses grandes dates, ses livres, ses cigares...Un antidote contre l'ennui écrit par  ce docteur en droit et diplômé des Langues O, ce passionné de nouvelles technologies, celui que certains nomment le « cyber-maire », bon vivant, amateur de cigares.

     

    Au fil des pages et des noms, quelques allusions tout d’abord à ces jeunes qu’il a formé et qui essaient de s’émanciper de leur mentor. A « Collaborateur » il explique : »Tous ceux qui marchent dans mon sillage finissent par réussir. Quant aux autres, c’est qu’ils n’ont pas marché assez droit » en donnant entre parenthésen, leurs initiales : PCB, MM, BG, LG, SP, BF, JC. A vous de deviner. Et il revient quelques pages plus loin sur les « Santini Boys » : « Ce sont mes apôtres. Des hommes jeunes, souvent pères de familles. Les premiers sont d’anciens éléves de l’université de Tolbiac où j’ai enseigné le droit public. Les seconds viennent de mon parti. Les derniers sortent de l’IFAC ». Comme Bernard Gauducheau qui confiait encore ses derniers jours le connaitre depuis l’âge de 6 ans, c’est à dire 50 ans. A « Enseignement », il explique « qu’autour d’Issy les Moulineaux, les maires de Meudon (Hervé Marseille), de Vanves (Bernard Gauducheau), de Boulogne (Pierre Christophe Baguet), ont été mes collaborateurs. Mon rôle est de repérer les gens capables. Pédagogie et politique devraient toujours aller de pair ».  

     

    A travers, ses pages, il raconte l’origine de ses formules à gravées à jamais dans le livre de l’humour politique dont VGE a fait lesx frais. Au mot « Enterrements » il raconte : « C’était à Notre Dame, pendant la messse funébre de François Mitterrand, je m’ennuyai un peu. Il faisait un brouillard terrible de jour là. A l’intérieur, il y avait un opaque nuage d’encens. De temps en temps arrivaient de grands pointures : Fidel Castro, Helmut Kohl, et puis Giscard, évidemment, un peu en retard, sans doute pour se faire voir. C’est alors que je me penche sur l’épaule d’une ministre socialiste qui était à ma droite et je lui dis : « Je ne me souviens pas qu’on en ait fait autant pour Valéry Giscard d’Estaing ». J’ignorais qu’il deviendrait un jour immortel… ». A « Cohn Bendit Daniel », il raconte « qu’on m’avait prêté ce trait à propos de Cohn-Bendit : « La preuve qu’il est allemand, il revient en France tous les trente ans ».

    Pour Hervé Morin, le candidat NC aux présidentielles de 2012, il se fait plus sévére : « On m’attaque peu, parce qu’on a peur de mes répaties. Pourtant, Hervé Morin osé déclarer un jour, à propos de je ne sais quelle réunion : « Rien n’a changé, quand je suis parti, Santini dormait, quand je suis revenu, il dormait encore » - « Je te préviens lui dis-je quelques jours plus tard  en réunion à l’Assemblée Nationale, je vais t’en balancer une ! «  - « Ah ! Non ! » - « Mais si, je dirai : « Morin a passé trois ans à courir après ses chevaux de courses, et maintenant il court après ses électeurs ». C’est dit.L’inépuisable, l’indécollable 1% ».

     

    Mais Jean Paul II restera l’homme qui l’a le plus marqué, au tout début de ses mandats  : « Pour son premier voyage aspotolique en France, sa Sainteté s’est posée à Issy les Moulineaux, le 1er Juin 1980, dans un bel héliciopéte blanc. Je l’ai reçue dans la grande Chapelle du Séminaire. Il me regarde dans les yeux et me dit : « Alors vous êtes maire ! Ce doit être difficile d’être élu local » - « Oui, votre Sainteté ». Puis je lui présente le livre d’or. Il le signe et ajoute : « Il faudra expliquer, monsieur le Maire ! » - « Expliquer, Votre sainteté ! » - « Que j’ai écrit debout ! » - « Et pourquoi votre sainteté ? » - « Parce que j’ai mal écrit ! ». Tous mes collégues avec leur écharpe étaient bien alignés. Il a remonté la colonne en les regardant tous dans les yeux. Qu’ils soient communistes, socialistes ou fancs maçons, ils étaient à quatre pattes. Avec Jean Paul II, j’ai ressenti pour la première fois ce qu’on appelle « l’aura ». J’entendrai plus tard un prêtre de Radio Vatican dire du Saint Pére : « quand il rencontre quelqu’un, il lui donne l’impression d’être unique ». C’est exactement ce que j’ai ressenti ».  

     

    A Grenouille, il rappelle cette expression de François Bayrou sur les centristes : « Rassembler les centristes, c’est comme conduire une brouette plein de grenouilles, elles sautent dans tous les sens ». A Sénateur, il explique que « je m’imagine parlant de mon arthrite en parcourant le Luxembourg et puis discourant de mes hémorroïdes dans les salons de Boffrand. Ses fauteuils qui, selon la légende, furent ceux de Bonaparte au lendemain de Brumaire, offrent pour ce type d’affection, un confort sans égal ». Isabelle Debré appréciera.  A « Vote », il confie que « si les isséens continuent à m’élire, c’est parce qu’ils ont le sentiment que je les aime. Il faut lire mon courrier : « Vous, monsieur santini, qui êtes si bon… ». Ils votent également pour moi, parce que je suis un peu vieux. « Ca va votre santé, Monsieur santini ?... ». Ils ne supportent pas qu’on m’attaque, que l’on me bouscule. Ils se sont habitués  à moi ». Mais il n’a pas raconté qu’en 2001, ayant considéré avoir fait le tour de sa fonction de maire, il comptait bien se trouver un successeur, et passer la main. Et lorsqu’il s’en est confié à des administrés, et pas seulement de droite ou du centre, ceux-ci l’ont menacé de faire la gréve du vote (pour son successeur). Quel chemin parcouru lorsqu’il confiait au début des années 80 à des journalistes en herbe, qu’il avait encore beaucou à travailler (le terrain isséen bien sûr) pour acquérir une certaine notoriété. A « Fin », il écrit : « Je ne n’imagine pas un après politique. Je me vois mourir en seine, devant le Gtand Paris » etc….pendant plus de 300 pages.

  • RETOUR SUR WEEK END A VANVES RICHE EN MANIFESTATIONS : DE LA SECURITE AU JUBILE

    Avant, pendant, après les primaires, la vie continue à Vanves. Isabelle Debré, sénateur a été ré-élue finalement Vice Président de la Commission des affaires sociales de la haute Assemblée qui a procé au renouvellement de sdes instances la semaine dernière. Le docteur Jouanneau, refaisait parler de lui dans un article de l’Express du 5 Octobre consacré aux médicaments : « Même les medecins doutent » notamment à la suite de l’affaire du Médiator : « Depuis le Médiatior, il est plus circonspect qu’avant vis-à-vis des médicaments. Le Protelos ? Il ne le prescrit plus. « J’attends d’y voir clair » dit il. Les nouveaux médicaments lancés par les laboratoires pharmaceutiques ? « J’y regarde à deux fois prévient il. Le médecin, fort de ses 26 ans d’exercce se rabat sur les bonnes vieilles molécules dont il a l’expérience. Pas vraiment d’autres choix, comme il le souligne : »Au bout du compte, il fait quand même continuer à soigner les  patients, non ? ». C’est rassurant non ! Enfin La section Boules Lyonnaises a renouvelé son exploit de l’année dernière en remportant le Championnat des A.S. (Associations sportives) des Hauts de Seine contre le Club de Sceaux qui a des joueurs qui évoluent en 1ére Division.

     

    Mais revenons à ce week-end qui a été chargé pour le maire et son équipe qui était très présent sur le terrain, notamment grâce au mois du Commerce notamment à la dégustation organisé par le restaurant « aux plaisirs des mets » vendredi soir après l’inauguration de l’espace Giner qui est devenu le siége du service associations et animations. Personne n’a rappelé le souvenir de Sébastien Giner sauf Françoise Saimpert, maire adjoint chargé des associations dans une bréve allusion. Beaucoup de responsables associatifs ont découvert cet espace qui permettra au service qui s’est étoffé de bénéficier d’un véritable cadre de travail fonctionnel, même s’il n’est pas central, et son responsable Antoine Pasticier d’un véritable bureau, avec salles de réunions et une grande piéce qui servira d’expositions aussi. « Antoine a relevé un défi en professionnalisant ce service avec peu de moyens au départ. Il a maintenant un cadre, des moyens et une véritable équipe autour de lui » a expliqué le Maire. Un responsable d’une nouvelle association, Loisirs sans Frontière, qui a participé au Forum des Associations a témoigné d’avoir reçu  une aide appréciable dans ce service dans ses démarches administratives.

     

    Samedi a été la journée de la Sécurité Intérieure avec tous les services de sécurité (au sens lage) départementaux qui ont reçu la visite le matin du préfet des Hauts de Seine, d’André Santini, de Bernard Gauducheau, d’Hervé Marseille sénateur-maire de Meudon qui ont fait le tour des stands et assisté à des démonstrations de brigades équestre et canine. 800 personnes sont venusd rencontrés ses services et notamment beaucoup de jeunes étaient présents pour se renseigner notamment sur les métiers dans certains corps (gardiens de Paix etc…). L’Institut des Hauts de Seine qui organise les « Gigas La vie » était présent avec son parcours labyrinthe sur les addictions, car il lance une campagne d’informations sur l’alcool et le cannabis en direction des jeunes

     

    Dimanche a été, en dehors des primaires, la fête de Saint François d’Assise  et le jubilé de la reconstruction de cette église du Plateau célébré en présence de Mgr Daucourt, l’evêque du diocése des Hauts de seine et de BernardGaudcheau, maire de Vanves, avec de très nombreux paroissiens que n’avaient pas arrêté la pluie. Mgr Daucourt a salué la présence du représentant d’une communauté locale qui travaille au service de tous, pour cette célébration du 25éme anniversaire de la reconstructon de cette église. Il a beaucoup parlé de ce saint dans son homélie en annonçant cette marche religieuse pour la paix (entre les religions) du 22 Octobre entre le parvis de la Défense et Puteaux à laquelle participeront les paroissiens de Vanves  afin de marquer là aussi, le 25éme anniversaire de la rencontre d’Assises initiée par Jean Paul II qui avait réuni les représentants de toutes les religions.

     

    « Je souhaite de chacun puisse accueillir le mesage de François d’Assise, c'est-à-dire vivre en complémentarité dans l’église en se parlant, en s’écoutant » a-t-il expliqué en se référant à ses musulmans convertis au christianisme  qui sont assassinés dans certains pays, mais aussi à tous les autres convertis dans telle ou telle religion qui peuvent être persécutés. Et de rappeler que c’est à Vanves qu’il avait participé en 2002 à une rencontre entre représentants de toutes religions. Il fausait allusion à la réunion interreligieuse organisé fin Janvier 2002 parl’association Approches 92 au monastère des bénédictines sur le « Travail et spiritualité sous le signe de Gandhi » en union avec la rencontre d’Assises autour du pape Jean Paul II.

    Le Pére Vincent Hauttecoeur avec l’équipe d’animation pastorale en a profité pour lancer l’année Saint François à Vanves qui sera marquée par de nombreuses manifestations. Tout d’abord toute une série de réunions de formation pour redécouvrir Saint François avecnotamment des franciscains jusqu’à l’été prochain sur différents thémes : le contexte historique, le volet spirituel, la rencontre avec ceux qui ne croient pas, la fraternité….Ensuite un pélerinage à Assises du 27 Février au 2 Mars 2012. Au fait, c’est curieux ! Mais c’est un François qui a gagné le 1er tour des Primaires ! Est-ce un signe de l’oecuméisme au PS pour désigner celui qui devrait mener la bataille présidentielle !